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Bien belle, la dernière!

Gauthier

Ha la raiponce, j'adore cette fleur ! merci pour la fiche explicative.

Une préférence pour la 4 qui jouit d'une très jolie lumière

Salut Roland

Bien dans la suite des bétoines, une très belle majoration

Jacques

Merci !

La Saponaire de Montpellier (Saponaria ocymoides), également appelée Saponaire des rochers ou Saponaire rose est présente sur les pelouses sèches, les coteaux pierreux, les rochers calcaires, les murets de pierres sèches et aux bords des chemins et des routes  jusqu'à 2 000 m d'altitude.

Elle fait partie de la même famille que le silène ou l'œillet et affectionne les sols secs et calcaires. Son nom vient de sa faculté à produire de la mousse lorsqu'elle est frottée entre des mains humides. Les plantes poussant en altitude possèdent des pétales plus larges et des fleurs d'un rose plus foncé. La floraison a lieu de mai à juillet.

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Belle série avec une préférence plus marquée pour la 2 et la 6 

Petite suggestion pour tes présentations florales de la saison future : te serait-il possible, en plus de tes portraits, d'effectuer un cadrage plus large incluant un peu d'environnement (juste un cliché "témoignage", pour se rendre compte de la taille de l'espèce, hors critère esthétique, si c'est joli c'est mieux mais telle n'est pas pour cette image l'objectif principal)
Perso je trouve que cela manque un peu, et par ex ici (mais c'est valable pour toutes finalement) je n'ai aucune idée de l'allure globale de la plante avec les plans serrés et c'est un peu dommage compte tenue par ailleurs de la richesse de tes présentations (texte d'introduction + photos)
Voila; juste si y'a moyen bien sur, sinon.. et bien tant pis pour ma pomme je me ferais une raison

Jolie images, pour moi c'est la première et la n°6 !
C'est vrai que la suggestion de Zak Zok est pertinente je trouve aussi...

Max

Salut Roland

La dernière m'a immédiatement séduit, les autresont très belles aussi

Jacques

Jolie série avec une préférence pour la dernière.
J'appuie aussi la suggestion de Manu. C'est toujours très intéressant de te lire et avoir un plan d'ensemble amènerait un vrai plus pour la découverte de ces belles fleurs.

Il y a un rendu quasiment 3D assez hypnotisant sur la seconde!

Gauthier

Citation de: Nanou2 le 07 Février 2019, 08:58:41
Jolie série avec une préférence pour la dernière.
J'appuie aussi la suggestion de Manu. C'est toujours très intéressant de te lire et avoir un plan d'ensemble amènerait un vrai plus pour la découverte de ces belles fleurs.

Egalement du même avis

Merci à vous tous !

J'ai bien compris votre suggestion de cadrage plus large afin d'avoir une idée générale de la plante, je vous promets à l'avenir d'essayer même si mon attention est plus portée sur la fleur elle-même que sur la tige et les feuilles. La définition de macrophotographie ("photographie très rapprochée des objets de petites dimensions, produisant un effet grossissant") est toutefois très explicite...

"...pour se rendre compte de la taille de l'espèce", c'est tout le problème de donner une échelle en macro que tu évoques là Emmanuel. Problème pas tout à fait résolu (sauf lorsqu'il y a présence d'un insecte) car, à ma connaissance, personne (hormis la police scientifique) ne met  une règle graduée ou une pièce de 1euro à côté du sujet photographié. Voir, pour ne citer que cet exemple, tous les fils sur les collemboles: on ne sait pas exactement la taille réelle de la bestiole et on pose rarement (pour ne pas dire jamais) la question.

Même en proxy, le problème n'est pas totalement réglé car si la plante ou la fleur est bien photographiée entière, cela ne nous donne pas pour autant ses dimensions, d'autant qu'on ne sait pas à quelle distance elle est photographiée (de près ?, de loin ? ) et que le flou, les bulles ou les trames d'avant et d'arrière- plan, très travaillés en post-traitement, ainsi que le "désherbage" autour ne permettent pas de se référer, pour comparaison, à quelque chose de connu et dont on connaît la taille.


La Knautie pourpre (Knautia collina ) , espèce montagnarde qu'on rencontre jusqu'à 2 000 m d'altitude, est souvent confondue avec la scabieuse. Ces deux fleurs  attirant  les papillons, notamment les zygènes.
Elle pousse sur les coteaux secs et arides, les terrains rocailleux et souvent au bord des chemins. Elle fleurit de juin à août.

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Préférence pour cette MAJ avec la 4ème qui me parle le plus. Un cadrage vertical m'aurais bien plu. Les couleurs sont belles et le bokeh harmonieux.

Jolie nouvelle série sur cette nouvelle fleur ! J'aime bien la 4 aussi

Max

Ah oui, j'ai aussi un faible pour la 4!

Gauthier

1 et 4 pour moi. 

Je comprends l'idée de Manu de glisser juste une image dans la série, avec un plan large et les éléments présents autour.  Ce que l'on devrait tous faire plus ou moins, en tous cas plus souvent.

JP

Salut Roland je trouve très à mon goût la première et la 2, qui représente bien la nuance des couleurs de l'espèce. Et puis bien sur la 4, pour son parti pris plus graphique avec ce joli "dôme" floral 

Concernant ma suggestion, n'y voit rien d'autre que son essence d'une simple proposition, et je prendrais de toute manière avec plaisir les partages que tu nous proposeras.
Je me rend compte avec le recul que mon ressenti sur le plus "d'espace" qui permettrait d'avoir une vision plus globale de l'espèce est avant tout lié à ma propre pratique; car j'ai beaucoup de mal à quitter un sujet sans avoir au moins :  1 plan large du sujet dans son lieu de vie, 1 plan moyen en pied (Fleur + tige + feuille), 1 panoramique si je peux, 1 plan soleil dans le dos, 1 plan en contre jour ET... 1 portrait serré.. éventuellement (si j'ai encore un peu d'énergie pour farfouiller dnas le sac, changer d'optique, équiper le trépied et m'embarquer dans un stack...)

En gros pour moi la photo de flore est avant tout liée à un espace, et le portrait plus spécifique c'est plutôt : "et plus si affinité".. 
Tes séries sont toutes belles mais je ressens comme un manque à chaque fois. Voila ce que j'ai voulu exprimer (mais on est d'accord que ça, c'est "mon problème", pas le tien  )

Et quoi qu'il en soit : vivement la suite

Salut Roland

Ah oui, que c'est difficile de donner une vue d'ensemble. A mon avis les images à visée documentaire ou d'identification sont assez redoutables à faire... Quand à cette dernière série où l'intention est bien claire, elle est toujours impeccablement réalisée. Je retiens tout particulièrement les quatre dernières.

Jacques

Merci à vous tous !

La Parnassie des marais (Parnassia palustris) est une plante vivace qui pousse surtout dans les prairies humides de montagne jusqu'à 2500 m d'altitude, les lieux marécageux, sur les bords de ruisseaux. Elle est reconnaissable à ses jolies fleurs blanches, larges de 15-30 mm, à cinq pétales blancs et à nervures transparentes.

La plante tirerait son nom du fait que les Anciens la trouvaient si belle qu'elle devait forcément venir du Parnasse...

L'une des particularités de la plante est la présence, à l'intérieur de la fleur et à la base de chaque pétale, d'une écaille jaune-vert clair (on parle aussi de staminode ou d'étamine stérile) portant de nombreux cils glanduleux jaunes (à peu près une douzaine par écaille).

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Très jolie cette série qui fourmille de détails, les blancs sont bien gérés et c'est agréable à l'oeil; et mise à part la dernière que je trouve un léger cran en dessous, elles sont toutes superbes 

Super, la 2 est top ! J'aime bien la 4 et la dernière aussi, qui moi me plait bien...

Max

encore une jolie série pour une jolie fleur.

Des détails, oui, mais un petit regret tout de même pour les blancs un peu écrasés et le grain excessif à mon goût.

Gauthier

Merci de votre passage et de vos commentaires !

L'épilobe en épi (Chamerion angustifolium) qu'on appelle aussi "Osier fleuri" est commun en moyenne montagne dans les espaces forestiers ouverts. C'est une plante pouvant  atteindre jusqu'à 1,50 m de hauteur et qui apprécie les endroits  frais,  humides et légèrement élevés. On la trouve plus facilement dans les régions de moyenne altitude dans les champs en friche, les clairières, les lisières, les éboulis, les coupes forestières et au bord des chemins.

Le nom anglais de la plante est "fireweed", l'herbe du feu, dénotant sa tendance à coloniser les endroits qui ont été brûlés...

Les fleurs, de couleur rose foncé, sont réparties sur un racème (c'est-à-dire en grappe et disposées sur un axe central). Les fleurs ont 4 pétales et 4 sépales roses, les sépales apparaissant plus foncés que les pétales. Les fleurs ont 8 étamines.

Les fleurs les plus basses commencent à s'ouvrir en premier. Puis elles fanent et c'est au tour des fleurs du dessus de s'ouvrir, ainsi de suite jusqu'au sommet, ce qui confère à la plante une longue floraison.

On employait autrefois son suc pour soulager les irritations de la peau et les brûlures, d'où le nom vernaculaire de "Laurier de St Antoine", en référence à Antoine le Grand, guérisseur réputé pour soigner les maladies de peau.

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Chouette cette fleur.. j'ai une grosse préférence pour la première et la 4ième (parfaite, cadrage, compo, "harmonie des couleurs avec le fond", tout y est, bravo)
Dommage pour le cadrage de la 2 avec un sujet - pour moi - un peu bas dans la compo (les pétales du haut a 15mm seulement du bord du haut ca m'aurait mieux convenu en fait..) reste la très belle emphase du sujet lui même 

Pareil pour moi: la 4 est vraiment splendide. 

JP