Un nacré mais lequel...

Démarré par freeky, 14 Avril 2011, 22:23:01

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freeky

Bonjour,
je sollicite l'avis des connaisseurs de lépidoptères. Voici un individu pris la semaine dernière dans le sud de l'Aveyron.
Je pense que nous avons à faire à un Nacré mais j'avoue que je suis un peu perdu pour définir l'espèce. J'hésite ici entre le Grand collier argenté (Clossiana euphrosyne), le Petit collier argenté (Clossiana selene) ou le Nacré porphyrin (Clossiana titania).

Merci pour votre aide.

PS : Je n'ai malheureusement pas pu prendre un cliché de l'autre face. Désolé...





NatViv

#1
Je pencherai pour Boloria (Clossania) selene . De toute façon, attendre d'autres avis !
Jean-Claude Le Hir - naturevivante.fr

freeky

Merci NatViv pour ce premier avis.

Au passage, quelqu'un pourrait m'expliquer la différence de classement des Nacrés selon les guides entre Boloria et Clossania ?
Je suppose que c'est un débat de classification au niveau du genre mais qu'en est-il exactement ?

Mario53

Perso je pencherais pour Clossiana dia : La Petite violette
Clossiana selene  a des dessins beaucoup moins épais .
Mais dans la mesure ou pour les 2 espèces c'est le revers qui est distinctif je ne pense pas que l'on puisse avoir une certitude à 100%.
Mario
Pour ce qui est du genre il semble que les 2 noms soit synonymes les auteurs emploient l'un ou l'autre indifféremment suivant les livres .
Mario
Mario

freeky

Merci Mario.
La Petite violette a été une des premières pistes. Je m'en était écarté pour une raison qui m'échappe... car effectivement c'est très approchant.

LRE

Pour moi aussi la petite violette pour les massues noires à terminaison marron, un petit liserer blanchâtre autour des yeux, et les tache sont moins noire plus marron c'est subjectif. Il est plus petite  que titania mais le doute est permis, en l'absence du dessous des ailes. Clossiana sp est un choix judicieux aussi
@+
Eric
Il meurt lentement celui qui evite la passion et son tourbillon d emotions, celles qui redonnent la lumiere dans les yeux et reparent les coeurs blesses Pablo Neruda