Comme promis je vous donne une des places qui on fait de ce voyage en Equateur mon bonheur !
Mindo, Province de Pichincha 80 km au Nord Est de Quito, Mindo offre un tout autre visage de l’Équateur que sa capitale Quito, fière, altière où l’air se fait rare et les oiseaux nombreux..
Ici on à vu tellement de différentes espèces d'oiseaux sur ce cite ou tout proche.
PARC NATIONAL COTOPAXI, aussi ANTISANA
réserve de Paz de las Aves (Paix des oiseaux) Clou forest ..
Nous sommes toujours dans la forêt des nuages (cloud forest) voici une vingtaine d'année
deux frères Antonio et Angel PAZ vivent dans la misère avec femmes et enfants
En fait ils cultivent un lopin de terre et surtout chassent et pêchent pour nourrir leur famille
Ils sont toujours dans les bois et attirent pour les chasser, oiseaux et animaux en imitant leur cris ou chants
Un beau jour ils décidèrent de changer leur fusil d'épaules et de protéger toute cette faune en proposant aux ornithos et touristes, de découvrir cette riche biodiversité ils appellent leur refuge PAZ de las aves un endroit à voir absolument!
N°49 Brillant à bandeau bleu (Equateur)
Ces petits oiseaux d’Amérique présentent des couleurs aux propriétés très particulières. Selon l’angle d’observation, la couleur d’une même zone va changer : on parle de couleur iridescente
n°50 Dryade de fanny (Equateur)
Cette particularité soulève de nombreuses questions : comment l’iridescence est-elle générée d’un point de vue physique ? Pourquoi l’iridescence est-elle beaucoup plus répandue chez les colibris que dans les autres groupes d’oiseaux proches apparentés des colibris ? À quel moment l’iridescence est-elle apparue dans l’histoire évolutive des colibris ? Certaines espèces ont des colorations iridescentes très peu visibles, alors que d’autres ont des colorations iridescentes très vives : à quoi sert l’iridescence chez ces oiseaux, pourrait-elle aider au camouflage comme aux parades nuptiales par exemple ?
Pour répondre à ces questions, les chercheurs du CEFE mesurent les colorations des colibris sur les différentes zones du corps et à différents angles. On mesure la coloration non pas en examinant les oiseaux à l’œil, mais en utilisant la spectrométrie, une méthode de mesure à la fois objective, quantitative et précise, qui permet d’inclure les ultraviolets (UV) auxquels les oiseaux sont sensibles mais auxquels nous sommes aveugles.
n°51 saphir oenome (Equateur)
n°52 Brillant rubinoïde (Equateur) la seule image de lui jamais revu sur 18jours!!