Merci Jef, je n'avais pas dû bien fouiller les topics, désolé !
Effectivement pas mal de pratiques partagées sur ce topic, mais je suis plus précisément en attente d'expériences en matière de cervidés en période de brame, donc si certains ont des expériences à faire partager, merci à vous !
Donc si je suis bien, il serait préférable de "perdre", le verbe est mal choisi, plutôt consacrer, du temps en étude du territoire, des habitudes et en recherches, afin de bien identifier comment se déplace et vit la population indigène en fonction du lieu, du moment de la journée, de la saison... pour une fois ces paramètres bien identifiés, placer aux meilleurs endroits le ou les affûts sur un périmètre donné, et également connaître le moment optimal pour s'y tapir !
Ce temps n'est pas perdu puisque pour effectuer ces repérages c'est une chasse à l'approche, ou billebaude ;o)
Mais côté approche, j'ai beau tenté de me faire le plus discret possible, j'ai vraiment l'impression qu'on n'entend que le bruit de mes pas à 10 bornes à la ronde ! Quelle technique d'approche pratiquez-vous pour être le plus silencieux et le moins visible ? Merci vraiment pour votre partage
Certes je me suis rendu compte que ce qui était essentiel était le sens du vent par rapport aux exceptionnelles facultés olfactives et auditives des cervidés et autres "gibiers"; je parviens donc parfois au contact avec le cerf ou la biche, mais le plus souvent c'est plutôt par chance que je tombe dessus, du moins c'est ce que je ressens !
Ce qui me faire dire cela est l'état de surprise du "chasseur" et de la "proie" quand il y a rencontre ! C'est bien souvent très fugitif, le cerf ou la biche ne tardant jamais à prendre la fuite. Donc peu d'observation possible et quant à la photo, c'est du pur domaine du réflexe (c'est le cas de le dire ;o))