Sauf qu'il ne faut pas oublier que les endroits dits publics représentent une surface du territoite français "anecdotique" et qu'il ne s'en trouvent pas partout, de plus il ne faut pas confondre parcs nationaux, d'ailleurs pourvus d'une règlementation qui limite dans certains cas les activités de prise de vue, et les parcs naturels qui eux ne sont que des territoires labellisés et privés pour la plupart, sur la grande majorité d'un pays comme la france les naturalistes oeuvrent sur des terrains privés, où de plus en plus de propriétaires sont enclins à virer le moindre promeneur. Dans ma jeunesse, des années 60 à 75, jamais personne ne venait me sortir d'un herbage ou me virer du bord d'une mare lorsque j'y venait étudier la petite faune, aujourd'hui plus question de se promener dans une prairie en milieu ouvert sans voir arriver le propriétaire mécontent. Qu'adviendra t'il quand ces personnes comprendront qu'elles pourraient tirer un bénéfice quelconque d'une activité comme la photo animalière ? Il en fut de même avec la chasse et la pêche familiale que j'ai connues libres, où tout le monde pouvait chasser et pêcher partout,en moins de cinquantes ans plus rien de ce que le révolution française avait aboli au sens des privilèges ne subsiste...
Méditons sur la rationalisation de notre activité, photovores,photophiles, sommes nous condamnés à photographier absolument tout et partout, et prêts à tout pour y parvenir ?