La nuit déploie ses longs filets de brumes éphémères pour espérer contenir les assauts de l'aube en lumière.
Ce combat perpétuel mais chaque jour renouvelé lève le voile sur un décor enchanté: le fleuve. Il s'éveille et libère les esprits feufolesques, les silhouettes fantomatiques s'évaporent et cèdent place aux dames blanches parées de leur habit de lumière.
L'oeil de verre éblouit, celui de chair revit. La magie opère, au doigt et à l'oeil de l'artiste quelques esquisses libère. Le subtil instant, volé, revit ici et reste à jamais gravé...
Petit hommage au regard du talent... Merci Olivier.
Christophe.