Sur la zone alpine suisse, je ne saurais dire si c'est justifié.
Sur la partie française, la question du patrimoine génétique reste un sujet et ces suivis permettent d'avoir une cartographie précise de leurs aires de répartition et de leurs interactions.
Il faut encore diversifier le patrimoine génétique, les dernières réintroductions ont été réalisées avec des échantillon issus de deux ou trois massifs distincts. Les suivre permet souvent aux PN et aux PNR de moduler certaines choses. Sur un massif, ils ont fermé certaines vires avec des croix ou taillé des passages pour qu'ils ne restent pas bloqués techniquement.
C'est irritant d'avoir un individu équipé d'une balise ou d'une boucle dans le viseur, c'est un excellent repère pour les agents chargés du suivi.
Après, où se situe le bon sens? Je ne sais pas, mais j'apprécie chaque moment lorsque je peux les photographier et les observer et je me dis que si j'ai cette chance, c'est grâce à tout le travail accompli.