Salut et merci à JLuc, Lapin, Onyx, Tintin et Alain...
Pas envie de faire de grands discours ce soir.
des images avec des éclairages variés, qui changent le résultat d'une manière parfois surprenante, et sans parade au traitement.
C'est très sensible sur cette cigogne. Elle me permet d'illustrer ce que j'avais développé pour plaider en faveur des Petits Gravelots de Jean Luc : la même cigogne, le même jour, avec un air malsain, chargé d'humidité.
Les 2 premières sont prises à contre-jour avec une lumière oblique et à une distance rédhibitoire dans ces conditions.
Les suivantes, après que l'oiseau soit passé de l'autre côté du miroir. L'air est toujours aussi chargé, et la lumière trop dure, mais la distance est moindre, et ça atténue les phénomènes défavorables, sans les annihiler. Le sachant, je le vois d'autant plus...
A vous de juger.
PS. J'ajoute pour les curieux de nature, que l'oeil de cette cigogne nous montre comment les oiseaux se sont adaptés au phénomène de la lumière "trop dure", avec leur membrane nictitante, qui les en protège, à défaut d'être photogénique.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Membrane_nictitante1/
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