Sur la plage, abandonnés...

[gjacobs]

Aussi jolie qu'étonnante, cette méduse!

Gauthier

[Betal]

Ces créatures ont leur charme, même échouées ! 
Retour sur les espèces de petits tubes présentés antérieurement "en vrac", on voit que les vers (?) qui les ont construit peuvent s'agglomérer si l'on peut dire, ici autour des poteaux d'élevages de moules appelés bouchots.
41, 42

[Roland RIPOLL]

Incroyable tout ce que tu peux découvrir sur les plages !

[Benoit68]

Superbe fil, Betal.
De belles photos et instructives de surcroit !
Un vrai plaisir à parcourir.     

[gjacobs]

La dernière est une belle réalisation, encore!

Gauthier

[Betal]

Merci pour vos encourageantes appréciations ! Oui, l'estran et surtout la laisse de mer sont propices aux découvertes de toutes sortes pour qui s'y intéresse.
Une autre jolie méduse et encore un truc bizarroïde non identifié.
43, 44

[Nanou2]

Je  reste toujours "scotchée" devant ton fil, c'est tellement surprenant que je suis incapable de dire si j'aime ou pas. Mais ça fait du bien d'être bousculée parfois.

[gjacobs]

Sur l'avant-dernière, la méduse a l'air énorme!

Gauthier

[Betal]

Ou alors c'était de petits couteaux 
Intéressante ta réaction Nanou ! 
45, 46

[den7]

Tout cela attise ma curiosité.

Je trouve les méduses très belles. Même échouées elles gardent de belles couleurs.

Sans compter les autres images qui sont réussies également.

[gjacobs]

Il fallait trouver une telle combinaison comme sur la dernière!

Gauthier

[Roland RIPOLL]

Toujours un plaisir à découvrir de nouveaux "échouages".

[Betal]

Merci pour vos plaisants commentaires !
Un autre curieux "machin" et un squelette, de phoque je pense. On dirait bien la trace qu'il a laissé sur le sable avant de mourir et d'être consommé par divers nécrophages... La loi de la nature...
47, 48

[gjacobs]

Le sujet est en effet pas identifiable, mais l'avant-dernière est superbe!

Hé bien, ils n'ont pas trainé, les opportunistes, pour qu'il ne soit déjà plus qu'un squelette alors que ses traces sont encore sur le sable!

Gauthier

[Betal]

C'est en effet assez étonnant, mais le jeu des marées fait que selon les coefficients certaines zones restent au sec pendant plusieurs jours.
Quand ils s'en nourrissent, les goélands ingurgitent parfois des morceaux de coquilles de moules puis les évacuent sous forme de "pelotes", comme le font les rapaces nocturnes avec les poils et os de leurs captures. Mais elles ne tardent pas à se défaire contrairement à ces dernières.
En 2 nous en verrons d'autres exemples, lors de tempêtes des quantités énormes de coquillages vivants (ici surtout couteaux et lutraires) sont "dessablés" par les vagues et drossés en haut de plage, ce qui attire des concentrations impressionnantes de milliers de laridés.
49, 50

[Betal]

Il y a aussi parfois de beaux amas de coquilles (vides cette fois) de couteaux. Et une autre espèce de méduse croisée sur le sable.
51, 52

[Betal]

53, 54

[gjacobs]

Très belle suite! J'aime particulièrement l'avant-dernière.

Gauthier

[Roland RIPOLL]

Belle suite toujours intéressante !

[Betal]

Merci à vous ! Une belle empreinte de goéland et la fameuse puce de sable. A certains endroits/moments elles grouillent et c'est amusant de les voir sauter en tous sens quand on passe. Ce l'est moins quand on se baigne et qu'elles vous piquent !
55, 56

[gjacobs]

Bien sympa, même si un peu plus de netteté sur la puce aurait été bienvenue.

Gauthier

[Betal]

Tu as raison, bon ça peut être un petit objectif pour cet été ! Mais c'est vif ces bestioles et il est rare d'en trouver des mortes comme ici.
Une autre tempête avait brassé les fonds marins et en a extrait des quantités de coquillages qui se sont amassés ici dans les bouchots.
57, 58

[Roland RIPOLL]

Toujours intéressantes tes découvertes !

[gjacobs]

Aussi bizarre que ça pourrait paraître, cet amas est assez joli au final. L'avant-dernière me plaît bien!

Gauthier

[Betal]

Merci pour vos appréciations. Le lendemain il n'y avait plus rien ! En attendant, épuisées par les remous les ayant sorties du sable, les lutraires n'ont même plus la force de rentrer leur "pied".
59, 60