Merci les copains!
Hier, il est presque 7h30 lorsque j'arrive au bord de la Garonne. Petite descente le trépied dans une main, et l'appareil dans l'autre, pour arriver presque à hauteur d'eau. Les milans sont toujours aux rendez-vous. Au moins 3 individus ce matin là . C'est aussi la première fois que je les entend chanter cette année...Ca m'avait manqué !
8h00 : Une garzette vient se poser à une quinzaine de mètres, me gratifiant d'un bel atterrissage que je n'ai malheureusement pas eu le temps de capter. Elle est sur la même rive que moi et commence à pêcher, mais elle est cachée par une touffe de hautes herbes. C'est peu avant 8h30 qu'elle décide de la contourner pour s'approcher de moi.
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Lente au départ, elle va maintenant de plus en plus vite dans ma direction ! Je suis pour ma part totalement à découvert, assis derrière mon trépied, n'osant même plus décoller l'oeil du viseur. Je dirais qu'elle est venue presque à la limite de la mise au point, soit probablement entre 2m50 et 3m.
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Elle est maintenant très près et les bruits du déclencheur commencent à l'intriguer.
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Dans les dernières secondes de sa visite, elle détend son cou et a l'air quelque peu dérangée.
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Sans même jeter un oeil dans ma direction, elle s'envole à l'opposé, ne lançant même pas un cri. Une observation assez intense en émotions, même si les scènes de pêche se sont déroulées derrière les herbes! (
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Désolé pour la longueur du récit !
A bientôt!
Jaime
