Après la canicule et la sécheresse qui ont dû faire souffrir les occupants de la forêt, un très gros orage accompagné de cataractes a créé, non pas des ruisseaux, mais des rivières dans les layons. J’attendais un lièvre à ce poste, mais c’est une troupe de sangliers qui est sortie à la fin du déluge. Ils étaient très excités et cherchaient avidement les habitants souterrains que l’eau aurait pu leur révéler. Le ciel très sombre, l’agitation constante des sangliers ainsi que le noir presque uniforme de leur tête ne facilitaient pas la tâche de l’autofocus : gros déchet ! (plein format, 500mm f4, ISO 3200, 1/50-1/100 s, monopode).
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