un affût quasi improvisé sur un coup de tête et une envie d'immortaliser un oiseau toujours aussi intéressant mais farouche, l’œdicnème criard. Ils étaient bien là et j'ai pu en faire quelques séries dans des conditions satisfaisantes et changeant des plans qu'il m'avait offert jusqu'ici sur fond de champs labourés...
les compositions sont assez semblables car les oiseaux circulaient en courant toujours dans le même sens... sauf la dernière où je le remets dans son contexte beauceron et où il retourne à la case départ (sans toutefois toucher les 20.000 francs de l'époque)
58. 59.