la bague que j'emploie est la EF 25mm et voici un ou deux petits exemples.
D'abord une photo prise de l'époque ou j'étais en argentique en 2000, prise sur EOS 1V, et provia scannée d'où un aspect quand même plus granuleux de la photo.
Une petit aenea qui faisait du sur place.
Et hop un mâle du complexe esculenta en plein chant.
Voilou des exemple de ce que peux faire le 100-400 en proxiphoto mais je dois quand même être honnête je ne l'emploie qu'extrêmement rarement à PO, il parraît qu'il est plus mou à PO, c'est possible mais pour mon utilisation je m'en fiche vu que mes diaph de travail vont de 8 à 16. (je rappelle que je suis naturaliste avant d'être photographe, pour moi la netteté du sujet passe avant l'aspect esthétique ou esthétisant si la photo est belle en plus c'est un bonus. En générale j'essaye de m'amuser un peu sur des sujets que j'ai déjà pris en photo.
Une photo que j'ai attendue dix ans, l'accouplement de Brachytron pratense, là encore le 100-400 a répondu présent, malheureusement étant en planque dans la végétation, ce couple s'est posé sur les fillipendules à une très petite distance de moi, j'ai commencé à 400 mm, mais après j'ai pu m'approcher, pour m'approcher aucun problème, j'ai dézoomé jusqu'à 150 mm, chose que je n'aurais pas pu faire avec un 300 fixe! Mon rapport d'agrandissement est donc monté en flèche lorsque je suis arrivé à 150 (à cause du tirage proportionnellement plus important) C'est aussi pour cela que j'ai acheté un zoom. Photo à F: 14 pour un max de netteté.
Allez pour le plaisir, une lithalse où il ne fait éviter de piétiner les abords des berges donc le 100-400 permet lorsqu'elles s'approchent de chopper les Aeshna subarctica elisabethae, une des libellules les plus rares de Belgique et une espèce que j'étudie depuis au moins trois ans. Les photos sont là pour confirmer les identifications qui sont difficiles à la jumelles et éviter les confusions avec Aeshna juncea.
Un trépied avec le 180, tiens je ne dois pas être comme tout le monde parce que je n'en prend jamais, mon trépied me sert à visser ma lunette swarovski pour les oiseaux (que j'observe et que je dessine). J'ai toujours considéré cet engin comme lourd, peu commode, pas discret et écrasant une partie des sujet qui m'intéressent! A proscrire dans les endroits sensibles. Il est déjà difficile de ne pas coucher toute la végétation sois même alors avec un trépied en plus. En plus certaines espèces sont tout sauf disposée à se laisser photographier et là la seule solution est de pouvoir être mobile.
(Vous n'êtes pas obliger de partager mon opinion, mais je précise que je travaille souvent dans des lieux exceptionnels pour lesquels j'ai des autorisation spéciales très difficiles à obtenir (passage en commission nature avec évaluation de projet scientifique et remise de rapport à la fin de chaque année) donc j'ai un devoir de respect extrême envers ces milieux très fragiles puisque j'ai déjà le privilège énorme de pouvoir m'y promener.