Merci de vos commentaires, ça me touche.
Chaque fois que je repense à ce hérisson, ça me fait encore mal au cœur.
Il était vraiment très attachant.
Quelques temps plus tard, j'en vu un autre dans la rue, de nuit, assez menu, mais moins peut-être, et me suis approchée, et il s'est fâché tout rouge!
Je crois que celui-là n'aura pas trop de problèmes pour aller de l'avant dans la vie.
Il y a quelques jours, dans un talus, j'en ai trouvé un en boule, qui vraisemblablement avait été bousculé par un animal.
Je l'ai remis dans son matelas de feuilles et recouvert, mais il me semble qu'il était assez exposé au sud, et aux intempéries pour 1. ne pas risquer de se réveiller à la moindre occasion, et 2. recevoir toute l'eau du ciel...
Faut-il intervenir ou non dans ces cas-là ?
On dirait presque une photo parce que je pratique comme certains peintres anciens (camera obscura) pour être sûre que tout soit bien à sa place. C'est un prof aux Beaux-Arts qui me voyant m'esbigner sur un double portrait de lévriers, m'a conseillé de prendre l'agrandisseur.
Depuis lors, n'ayant plus le souci du croquis le plus ressemblant possible, œil, oreilles, truffe bien positionnés, je suis devenue de plus en plus perfectionniste pour m'approcher le plus précisément de la réalité.
Le dessin étant fait ce n'est pas gagné pour autant, mais comme je l'ai déjà dit, je suis une artisane consciencieuse et obstinée.
Parfois avoir une photo un peu floue est intéressant, car on est obligé d'avoir une approche plus "picturale".
Je suis en train de terminer un groupe de chevaux des plus indistinct... Je vous mettrai la photo originale, et le tableau.