Merci de votre compassion ! C'est rageant d'avoir à constater la malhonnêteté jusqu'en pleine nature… mais je suis et reste un bisounours, je plains ces pauvres types au moins autant que je ne leur en veux ! Mes dernières sorties apportent peu d'images de niveau convenable, les jeunes grandissent tout en restant trouillards, ils quittent les abords des terriers et y reviennent à toute vitesse si quelques chose inquiète comme un aboiement de chevreuil !
La canicule est passée mais hélas toujours pas de précipitations… les blaireaux ont-ils réussi à compenser - par exemple par la chute actuelle des merises - le déficit en vers de terre pour cause de sol sec et dur ?
Alors pour accompagner ces circonstances et mon propos tristounet, une image de mon animal fétiche, posant hier soir avec son petit air attendrissant pour partager un peu de nostalgie…