Merci à tous pour vos commentaires sympathiques
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Benjamin : Toutes les photos sont réalisées à l'approche à pied, et sans raquettes (!), mais c'était une erreur... Les chamois de ce secteur sont habitués à voir du monde et à condition de ne pas faire une approche directe et rapide on est très vite accepté. Pour les conditions de prise de vues sur la neige, j'avais choisi la mesure matricielle, ISO auto avec une limite de 1/340s puis 1/400s et le mode programme. Avec ce type de sujet, sombre sur fond clair, l'automatisme donne de bons résultats (c'était déjà le cas avec mon Nikon F100). Je suis passé au numérique au printemps et, comme toi, j'ai toujours la crainte de cramer les hautes lumières. Sur la 3 j'ai appliqué une correction de +1/3IL mais ce n'était pas nécessaire et j'ai du tout reprendre en post-traitement pour retrouver de la matière en bas à droite.
Sylvain : C'est bien de la neige qu'il y a sur les cornes ; les mâles en rut cherchent à déposer les sécrétions de glandes qu'ils ont derrière les cornes sur différents supports. Quand ils le font sur les épicéas enneigés ils récupèrent un peu de neige au passage.
Cédric : Maintenant je fais comme toi j'attends un peu de soleil... Mais la neige est revenue en quantité !
En voici une autre du 11 novembre.
Didier.
5. Chamois en rut.
Mâle se frottant la tête sur un résineux pour y déposer les sécrétions de glandes qu'il a derrière les cornes.
11.11.2010. Massif du Jura. Suisse (VD). 1560 m.
Nikon D700. AF Nikkor ED 300mm f/4 IF. 1/640s – f/8. 200 ISO. Monopode avec crosse.
Traitement du RAW : Accentuation.