Celà ne doit pas toujours être évident d'être juge.
Pour le redimensionnement, c'est assez facile d'éliminer les images recadrées à plus de 20%. Par contre, pour des critères comme la "colorimétrie", là ça peut vite devenir assez subjectif...
Si on prend comme exemple une correction de la balance des blancs sur le fichier RAW (dans le cas d'un boîtier mal réglé (bdb laissée en tungstène) ou d'une bdb automatique approximative), celle-ci peut changer radicalement l'image de départ... mais la nouvelle image sera peut-être plus "fidèle" à la scène photographiée (ou au souvenir qu'on en garde...)? Il ne faudrait pas dans cet exemple précis qualifier le photographe de tricheur. Idem pour une correction d'expo (sous-ex volontaire sur le terrain pour "sauver" une vitesse limite puis expo remontée par logiciel).
Le post-traitement ne doit pas devenir de la retouche poussée, mais la frontière est parfois ténue... c'était juste une petite réflexion, absolument pas pour polémiquer. Le jury est souverain.
A+
Marcus.